Dans la ville de Tarsus, au sud de la Turquie, dans la région de Çukurova, à l’intérieur des terres à une vingtaine de kilomètres du port de Mersin.
Au hasard de la promenade, tard dans l’après-midi, à la fin d’un mois d’octobre ensoleillé...
On peut feuilleter ici une trentaine de photographies, prises sur un petit appareil numérique, sans pied, sans éclairage particulier, sans cadrage délibéré.
Dans la ville de Tarsus, au sud de la Turquie, dans la région de Çukurova, à l’intérieur des terres à une vingtaine de kilomètres du port de Mersin.
Au hasard de la promenade, tard dans l’après-midi, à la fin d’un mois d’octobre ensoleillé. Mais ces photos sont faites, à quelques minutes d’intervalle, strictement dans la même rue. L’une après l’autre. Sans qu’aucun choix ne vienne éliminer telle ou telle image, parce que trop dérisoire ou trop élégante.
Ce sont simplement des portes. Qu’on aurait pu photographier ici ou ailleurs. Et ce qui éclate d’abord c’est la variété presque infinie. Qui témoigne à son niveau de la formidable diversité de la Turquie, où se mélangent les époques, les cultures, les revenus. Portes faites de planches disjointes, portes ouvertes sur des intérieurs ombreux, portes métalliques, portes en châtaigner, portes altières d’un ancien palais, portes où il faut se plier en deux pour se faufiler.
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photos JJB 2010